Dysplasie chez le chien : SantéVet la prend en charge

SantéVet, leader et spécialiste de l’assurance santé chien, chat et NAC en France, est le premier et seul assureur à prendre en charge la dysplasie coxo-fémorale chez le chien.

Jusque-là, aucune compagnie d’assurance santé animale ne prenait la dysplasie en charge, celle-ci faisant partie des maladies héréditaires. Une pathologie pourtant lourde et handicapante pour les chiens qui en sont atteints. SantéVet, leader et spécialiste de l’assurance santé chien, chat et NAC, vient bouleverser les codes établis en devenant le premier assureur à prendre en charge la dysplasie coxo-fémorale. 

En prenant en charge les frais occasionnés par la dysplasie coxo-fémorale chez le chien, SantéVet, spécialiste de l’assurance santé chien, chat et NAC en France, bouleverse les codes établis. 

Elle devient la première assurance à proposer une telle offre en prenant en charge cette pathologie.


Une offre d’assurance santé animale totalement inédite


Comme toute maladie héréditaire, la dysplasie fait partie des exclusions des contrats d’assurance santé animale. « Cette offre est donc inédite », confirme Jérôme Salord, fondateur et Pdg de SantéVet. 

La décision de la prise en charge de cette pathologie handicapante pour les chiens qui en sont atteints et pénible à vivre pour leurs maîtres se fonde en premier lieu sur la volonté d’inciter les propriétaires à prendre conscience de l’importance d’un dépistage et d’un traitement précoces. 


Favoriser un diagnostic précoce


« Cette offre est en faveur d’un diagnostic plus précoce de la maladie et donc d’une meilleure prise en charge », insiste encore Jérôme Salord. Il est démontré qu’une prise en charge effectuée le plus tôt possible peut augmenter significativement le bien-être des chiens atteints. 

Concrètement, pour bénéficier des modalités de remboursement, la marche à suivre par le propriétaire d’un chien est simple. 

Il lui faut souscrire une formule (Confort+, Premium ou Optimal) avant les cinq mois du chiot et faire procéder à un dépistage précoce (avant 18 semaines) par mesure d’un indice que l’on appelle dans le jargon vétérinaire de « distraction ». 

Il s’agit d’une méthode de radiologie du bassin qui est placé en compression et distraction. 

C’est une méthode tout à fait classique, mais qui est considérée comme étant la meilleure afin d’obtenir une lecture de hanche la plus claire et transparente possible. Une méthode jugée efficace par le corps vétérinaire à condition d’être effectuée précocement. 

Ensuite, tout va dépendre des résultats obtenus, SantéVet ayant fait appel au Dr Jean-Pierre Genevois, vétérinaire, pour être lecteur officiel des radios numériques. 

« Ce programme de dépistage a été développé avec huit vétérinaires du Groupe d’étude en chirurgie orthopédique de l’Afvac [Association française des vétérinaires pour animaux de compagnie, Ndlr] », précise Jérôme Salord. Il indique d’ailleurs que des formations à destination de praticiens seront organisées pour ceux qui souhaitent maîtriser la technique permettant la mesure de l’indice de distraction. 

Si l’indice est inférieur à 0,5 et si la dysplasie apparaît ultérieurement, et du fait qu’elle ne sera pas considérée comme ayant un caractère héréditaire, le chiot sera pris en charge par SantéVet. 


Traitement médical ou chirurgical et mesures d’hygiène


Le traitement pourra être chirurgical ou médical, le choix thérapeutique relevant de la décision du vétérinaire, en concertation avec le maître. 

A noter que la stérilisation de l’animal restera à la discrétion du vétérinaire et à la charge du propriétaire ainsi que le coût des radios numériques, réalisées chez le vétérinaire de son choix. Pour cela, le maître pourra tout à fait utiliser le forfait prévention contenu dans les formules Premium et Optimal. 


Eviter toutes les complications


Avec une prise en charge précoce et un traitement adapté, c’est éviter au chiot en grandissant des complications, comme une évolution vers un état arthrosique. 

Des mesures d’hygiènes viendront compléter les soins, car il est démontré que certains facteurs peuvent aggraver l’impact de la maladie lors de la croissance. 

C’est pour cela qu’une alimentation de qualité est conseillée, tout comme une modération dans certains « efforts » : montées et descentes d’escaliers, glissades sur le carrelage, sauts à répétition… 

Pour en savoir plus sur la prise en charge par SantéVet de la dysplasie coxo-fémorale, vous pouvez contacter l'un de nos conseillers au  : 04 78 173 800

 

La dysplasie de A à E

La dysplasie concerne principalement les chiens de grande et de moyenne race. Certaines races sont donc davantage concernées que d’autres. 

Il n’y a pas de prédisposition en rapport avec le sexe de l’animal. 

Au stade d’atteinte du chien correspond une lettre, de A à E. La lettre A correspondant à « indemne ». Mais deux géniteurs classés A peuvent toutefois donner naissance à des chiots dysplasiques. Chez certaines races, le taux de chiots dysplasiques issus de parents indemnes s’établit à 27 %. 

La dysplasie est héréditaire, mais non congénitale. Cela signifie qu’un chiot peut tout à fait naître avec des hanches saines.

 



SantéVet

Le spécialiste de l’assurance santé chien, chat et NAC

 

Photo : 123rf