La Direction de Affaires Vétérinaires de SantéVet

En interne, chez SantéVet, on l’appelle communément la DAV. Trois initiales pour désigner la Direction des Affaires vétérinaires. Placée sous la direction du Dr Jean-Christophe Vullierme, vétérinaire, ce service sert en premier lieu d’interface entre les professionnels de santé animale et la compagnie d’assurance. Mais ses rôles sont multiples : communication, formation, expertise font aussi partie de ses missions. Un travail qui, par « ricochets », profite aussi à l’ensemble des clients de SantéVet. 

La Direction des Affaires Vétérinaires (DAV) a été créée au sein de SantéVet en janvier 2011. Date à laquelle le Dr Jean-Christophe Vullierme (photo ci-contre), vétérinaire, a intégré la compagnie d’assurance pour prendre la direction de ce service. « Mon rôle est d’organiser et coordonner les actions de communication de SantéVet envers la profession vétérinaire », explique Jean-Christophe Vullierme. 


Le garant de la notoriété de SantéVet


Si la DAV est l’interface entre les vétérinaires et SantéVet, les objectifs sont multiples. Un des premiers est d’être le garant de la notoriété de la compagnie d’assurance auprès de la profession vétérinaire. 

Car si SantéVet se doit d’être au service de sa clientèle, les maîtres de chiens, chats et NAC qui décident de protéger leurs compagnons en souscrivant une mutuelle animaux, elle doit maintenir aux yeux des vétérinaires son image d’intégrité et de sérieux. « Préserver et améliorer la notoriété et l’image de Santévet auprès des confrères vétérinaires, y compris les étudiants et au sein des instances professionnelles - Ordre des vétérinaires, syndicat… - est une des fonctions de la DAV », explique son directeur. 

SantéVet a été la toute première assurance santé animale à signer la charte établie par l’Ordre des Vétérinaires. « Cette charte a certainement scellé le socle d’une relation plus claire entre les assureurs et la profession vétérinaire », admet Jean-Christophe Vullierme. « SantéVet peut s’enorgueillir d’avoir été l’instigatrice de cette charte et le premier assureur signataire », insiste-t-il. 

A l’apparition de l’assurance santé animale sur le marché, les vétérinaires ont parfois preuve de réserves pour certains d’entre eux. Et ce, même si Jérôme Salord, fondateur et Pdg de SantéVet, a exprimé depuis toujours clairement sa volonté du respect de l’indépendance de la profession. 

Un point de vue que cautionne Jean-Christophe Vullierme : « Cette indépendance est primordiale, car elle constitue le gage même de la légitimité de leur recommandation », assure-t-il. « Si le client avait le moindre soupçon de collusion entre l’assureur et le vétérinaire, la recommandation serait inévitablement entachée et donc inefficace. »

Les mentalités ont évolué. « Indéniablement, la perception et l’attitude des vétérinaires à l’encontre de l’assurance santé ont notablement évolué ces dernières années », analyse le directeur de la DAV. « L’apparition sur le marché d’un spécialiste des animaux de compagnie, professionnel, compétent et intègre dans sa relation clients, et à l’écoute des interrogations des vétérinaires, a beaucoup œuvré dans ce sens. » 

Cela explique la présence de la DAV sur les congrès professionnels vétérinaires qui se tiennent tout au long de l’année. 

« SantéVet est sans conteste le pionnier, le spécialiste et le leader de l’assurance santé animale », poursuit Jean-Christophe Vullierme. « A ce titre, c’est nous qui ouvrons ce marché. La conséquence est effectivement une nécessité impérieuse de communiquer envers les vétérinaires et les propriétaires. »

En ce qui concerne ces derniers, il admet qu’il reste en France encore « du chemin à parcourir pour faire connaitre les bénéfices de l’assurance santé animale aux 18 millions de propriétaires de chiens et de chats… Aujourd’hui en France un peu plus de 4 % d’entre eux sont assurés, contre 30 % au Royaume Uni et près de 80 % en Suède ! »


SantéVet : « ‘’L’Apple’’ de l’assurance santé animale ! »


Il faut aussi pour SantéVet, et donc pour la DAV, compter avec la concurrence, même si du point de vue de l’offre et des prestations, SantéVet a toujours su se démarquer et innover. « Bien entendu, la concurrence est très présente au quotidien, dans les salles d’attente des cliniques sous forme de brochures ou de présence physique dans les congrès de vétérinaires », confirme Jean-Christophe Vullierme. « Elle constitue pour la DAV un aiguillon très acéré… Mais jusqu’à présent SantéVet par son sens de l’innovation tant dans ses produits que dans sa communication, a toujours su innover pour conforter sa position de leader. »

Aujourd’hui, 90 % des vétérinaires recommandent SantéVet. « Sur le terrain, nous percevons clairement que le travail de fond accompli par SantéVet depuis 10 ans a accru considérablement la confiance des confrères dans l’assurance santé animale. Certains nous disent : SantéVet vous êtes ‘’l’Apple’’ de l’assurance santé ! », s’amuse Jean-Cristophe Vullierme. 


SantéVet Box : un outil haut de gamme 


Si les vétérinaires n’ont, déontologiquement, pas le droit de vendre de l’assurance santé animale, ils peuvent en revanche renseigner les maîtres, leur expliquer que cela existe. 

La communication est donc l’une des autres missions de la DAV au sein de SantéVet. Pour cela, elle dispose notamment de la SantéVet Box, qui est mise à disposition gratuitement dans les cabinets et cliniques vétérinaires et se destine aux maîtres. 

Le vétérinaire peut remettre à ses clients cette documentation complète qui se distingue par sa haute qualité de présentation et par son contenu. Libre ensuite au maître de prendre contact avec un conseiller commercial, obtenir d’autres informations et de souscrire un contrat. « A nous de mettre à la disposition des vétérinaires toute une gamme d’outils. Les brochures, des affiches, et surtout la SantéVet Box. Outil de communication majeur qui différencie SantéVet de la concurrence, améliore notre image, et permet au client d’être renseigné de façon personnalisée sur l’assurance grâce à la compétence des conseillers commerciaux. »


C’est aussi avec les ASV (auxiliaires spécialisés vétérinaires) que SantéVet a tissé des liens étroits. « Nous sommes disponibles afin de leur apporter les éléments d’information nécessaires pour qu’ils puissent répondre aux maîtres cherchant à se renseigner sur l’assurance santé animale. Un tiers des appels que nous recevons à la DAV émane d’ailleurs des ASV. Nous organisons aussi des formations dans les cliniques à leur intention », précise Jean-Christophe Vullierme. 

L’interface entre le vétérinaire et le client se concrétise également en interne pour la DAV. Par sa mission d’expertise qu’elle peut être amenée à apporter auprès du service « Gestion des contrats ». C’est le cas lorsqu’une demande de remboursement présente une grande complexité. 

Car si les principales missions de la DAV se concentrent sur la profession vétérinaire, elles finissent toujours par profiter aux clients de SantéVet… Aujourd’hui, ces derniers sont 95 % à lui faire confiance. 

 

Prise en charge de la dysplasie de la hanche chez le chien : une des exclusivités de SantéVet

SantéVet n’a de cesse d’innover. Si toutes ses formules d’assurance santé animale prennent à la fois en charge les maladies et les accidents, la compagnie d’assurance est à l’initiative de nombreuses innovations sur le marché : assurance pour les chats d’intérieur, prise en charge de l’alimentation thérapeutique, des maladies liées à un trouble du comportement avec la consultation auprès d’un vétérinaire comportementaliste, de certaines médecines qualifiées de « douces » ou parallèles toujours auprès d’un vétérinaire ‘’spécialisé’’ (homéopathie, ostéopathie, phytothérapie, acupuncture). 

La dernière innovation en date, et qui est une exclusivité SantéVet, est la prise en charge de la dysplasie coxofémorale (de la hanche) par le biais d’un dépistage précoce chez le chien. 

Pour cela, la Direction des Affaires Vétérinaires (DAV) intervient là aussi avec la mise en place de formations à travers la France et tout au long de l’année à l’intention des vétérinaires.

Au programme : rappels des méthodes de diagnostic de cette pathologie, actualités sur les différents moyens de traitement, modalité de la prise en charge par l’assurance. « Notre implication dans la médicalisation des animaux s’illustre parfaitement avec cette initiative », insiste Jean-Cristophe Vullierme. 

Une « première » qui va ouvrir certainement la voie à d’autres projets, à des prises en charge supplémentaires qui bénéficieront aux animaux et à leurs maîtres. « Nous collaborons effectivement avec des praticiens spécialisés pour étudier la prise en charge d’autres pathologies, notamment héréditaires. »

La prise en charge de la dysplasie a donc ouvert la voie, mais la DAV ne compte pas s’en tenir là ! 

 

6 personnes au service de la DAV

La Direction des Affaires vétérinaires (DAV) de SantéVet se compose de six personnes : « Quatre sont principalement sur le terrain pour rencontrer les vétérinaires dans leur clinique ou cours de congrès », explique Jean-Cristophe Vuillerme, directeur de la DAV. 

« Une autre a en charge l’expédition aux cliniques les outils de communication que nous tenons à la disposition des vétérinaires », poursuit-il. Enfin, une sixième personne « constitue l’interface entre les vétérinaires, et ASV d’une part, les personnes sur le terrain, et les différents services de SantéVet. »



SantéVet

Le spécialiste de l’assurance santé chien, chat et NAC

 

Photos : 123rf / DR